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Il y a deux circuits
d'alimentation des voies séparés :
Un seul des circuits est
actif à un instant donné. Un commutateur permet de basculer de l'un à l'autre.
On ne peut donc commander qu'un seul train à la fois.
L'alimentation électrique
de la gare et de la voie basse du four se fait depuis un seul point (point rouge
sur le schéma). Les coupures sont faites par les aiguilles ARNOLD ,
et il n'y a pas de réalimentation car le réseau est peu
étendu.
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Les distances sont extrêmement petites (à l'échelle , environ 1 kilomètre en tout) ,
de même il s'agit d'un réseau industriel sans beaucoup de moyens et sans signalisation
, tout cela fait que la circulation des trains doit être très
lente.
Pour atteindre cet
objectif , il y avait plusieurs solutions:
Le matériel étant en
majorité de l'occasion (donc non numérique) , il n'a pas été jugé possible
d'équiper celui-ci de décodeurs et le numérique n'a pas été retenu.
Un gauge Master asservi a permis de fournir un bon ralenti
même aux matériels de bas de gamme.
Le meilleur ralenti est nettement celui des moteurs KATO. Le câble du Gauge Master permet
de se déplacer ce qui est agréable.
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J'ai utilisé , dans la mesure du possible du câble en nappe ainsi que des
branchements avec des prises serties. Ceci évite bien des soudures et permet de
corriger sans trop de douleur quelques gros problèmes: lors de tentatives
d'installation d'un ciel de fond de décor , une vis de fixation a traversé
la nappe de câbles (peut être ai-je appuyé ou vissé un peu fort ...). Une
dizaine de conducteurs ont donc été sectionnés. J'ai coupé les deux bouts de la
nappe et les ai reliés avec des connecteurs sertis: durée cinq minutes
!
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Le
réseau étant rustique , il a été préféré des commandes manuelles pour les
aiguilles accessibles. Seules les aiguilles des coulisses (représentant donc la
ville de Cajamar) ont été électrifiées.
Dans un premier
temps de simples interrupteurs (les noirs) ont été utilisés.
Le commutateur rouge permet de basculer les circuits
d'alimentation entre la
voie du haut (mine) et le reste du
réseau.
Le tableau de
commande devait se fixer verticalement quelque part à l'avant du réseau , mais
...
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... sa fixation
ainsi que ses dimensions ne me convenant pas (toujours réfléchir
avant ...) , un tableau coulissant pouvant se ranger dans l'épaisseur du polystyrène
a pris sa place.
L'étude en a été
laborieuse...
.
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Les interrupteurs de commande des
aiguilles ont été remplacés par un simple contact sur des vis en laiton. La
commande se fait en touchant la tête de la vis avec un fil volant relié à
l'autre pôle de l'alimentation.
Le commutateur rouge sert toujours à
basculer l'alimentation.
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Une vue
d'ensemble.
Le câble de droite est
l'alimentation en courant alternatif 16 volts. La prise est une prise cinch
audio classique. Il n' y a pas besoin de courant continu car la régulation de
vitesse est fait par un Gaugemaster qui redresse le courant.
Le câble du milieu va vers
le Gaugemaster. La prise est une prise réseau informatique RJ45. Le Gaugemaster
est commode car
-
il peut être utilisé
d'une seule main (y compris inversion du sens de marche)
-
le bouton de commande
est très doux
-
le câble permet
de prendre du recul
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L' inconvénient de la commande des aiguilles par
contact est l'absence d'indication de la position de l'aiguille. Il serait
aussi appréciable de mémoriser la présence d'un train garé sur la voie correspondante. Enfin
, il serait bien commode de prévoir une diode d'arrêt automatique car la
gare cachée n'est pas visible (ça paraît normal). La soudure de câbles sur les
rails ARNOLD n'étant pas simple en raison du vernis qui fond et recouvre tout ,
ceci sera peut être étudié plus tard en pratiquant des coupures et soudant sur
les éclisses.
L'avantage du système est son extrème compacité ainsi que
la possibilité de le ranger dans l'épaisseur du socle .
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